Voici quelques indices de l’univers de mon nouveau roman, tome 2 d’« Un amour extravagant ». Je n’en connais pas encore le titre !
C’est encore le midi, mais dans les terres cette fois, en Dracénie. Entre bastides, oliveraies et restanques. Un monde que l’homme a façonné malgré les canicules, les orages et les vents contraires. Vous retrouverez Alice et Didier, le couple miraculé de mon premier roman.
Ensemble et séparément, ils vont apprendre à affronter les difficultés et à faire des choix. Mais mon personnage principal vous réservera bien des surprises. J’espère que vous finirez par l’aimer ou au moins le comprendre.
Alors que l’hiver n’en finit pas, je n’attends plus qu’une chose, descendre dans le village où se déroule mon histoire. Je veux sentir la brise sur mon visage, humer la terre de ce pays où les oliviers centenaires nous racontent une autre vie.
La genèse d’une histoire, c’est la juxtaposition, incohérente en apparence, d’éléments disparates. Des bribes de souvenirs personnels, des émotions longtemps tues et surtout cette nécessité de transmettre, de dire ce qui tient à cœur, de communiquer encore et encore un message authentique. Refuser la perfection pour se rapprocher de la Vie. De la plénitude et du sentiment d’exister pour quelqu’un et pour quelque chose de plus grand que soi.
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En ce dimanche où beaucoup de mes frères et sœurs se rassemblent pour honorer l’Auteur de la Vie, alors que je suis là clouée à la maison par des douleurs qui persistent en sourdine et l’absence de transports, je donne ma petite contribution.
Je donne ce que je suis, ce que j’ai dans les mains. Un peu d’espoir même si je suis éprouvée, un peu d’amour même si je n’aime pas comme lui, un peu de rêve et de beauté.
Bon dimanche et n’oubliez pas : IL EST.
